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En tant que nouveau créateur d’entreprise ou chef d’entreprise, comment piloter votre activité et assurer le bon fonctionnement de votre entreprise ? Pour travailler de manière efficace et organisée, il est indispensable de mettre en place des tableaux de bord : comme le GPS d’une voiture, ils vont vous guider vers le chemin de la croissance, du développement et de la réussite !
Qu’est-ce qu’un tableau de bord ?
Le tableau de bord est un instrument d'aide à la décision pour le dirigeant. Constitué d’indicateurs clés pour le suivi et l’évaluation de votre entreprise. Il vient en complément du bilan et du compte de résultat, ses indicateurs pouvant être d’ordre financiers, économiques, commerciaux, RH… Il se formalise sous la forme de tableaux et/ou de graphiques. Véritable outil de pilotage proactif et implicatif, le tableau de bord permet d’avoir une vision globale en temps réel de l’activité de votre entreprise, de sa performance, de prévenir les difficultés et d’être dans une démarche d’amélioration constante.
Pourquoi établir un tableau de bord ?
Le tableau de bord a pour objectif de piloter l’organisation de l’entreprise par l’intermédiaire des indicateurs de performance. Il constitue un outil de gestion efficace qui permet de définir les prévisions, de contrôler leur réalisation et de constater les écarts entre les objectifs et les résultats obtenus. Il sert à détecter les dysfonctionnements au sein de l’organisation.
Le tableau de bord est également un instrument d’aide à la décision, car il réduit l’incertitude et permet aux dirigeants de réfléchir sur les mesures correctives à entreprendre pour améliorer les faiblesses décelées au sein de leur structure.
Le tableau de bord grâce à un format synthétique et visuel permet d’appréhender en temps réel la situation financière de l’entreprise. Les dirigeants sont ainsi informés des postes les plus performants et des moins rentables. Grâce à cette sonnette d’alarme, le dirigeant peut anticiper et prendre rapidement la décision d’adapter son plan d’action.
Comment mettre en place un tableau de bord de gestion ?
Bien définir les indicateurs
Les indicateurs d’un tableau de bord doivent être efficaces, cohérents, lisibles et rentables. Ils doivent correspondre aux objectifs fixés par l’entreprise, c’est-à-dire qu’ils devront être porteurs des orientations stratégiques et des objectifs de l’entreprise. Les indicateurs devront également être mis à jour régulièrement afin de suivre efficacement l’évolution de l’activité.
Les indicateurs peuvent être des indicateurs de pilotage et/ou des indicateurs de performance. Dans tous les cas, ils doivent être limités et personnalisés pour faciliter le suivi et l’analyse.
Le choix des indicateurs pris en compte dans le tableau de bord est primordial. On distingue quatre grands types d’indicateurs selon l’activité de l’entreprise :
- Les indicateurs économiques qui mesurent les résultats et les coûts ;
- Les indicateurs physiques qui évaluent la qualité des produits, le traitement des commandes et la logistique notamment ;
- Les indicateurs humains qui mesurent la performance des salariés ;
S’assurer de la cohérence et de la qualité des données suivies
Autre point essentiel : la qualité des données sources. Les données peuvent avoir plusieurs origines : fichier client, devis, factures, GRC, saisies manuelles d’actions ou d’évènements, questionnaires internes… La pertinence et la cohérence des données sources sont indispensables pour obtenir un tableau de bord fiable et efficace.
Une fois ces indicateurs définis, ils doivent apparaître dans le tableau de bord de gestion sur plusieurs lignes et colonnes :
- l’existant (les données passées),
- les prévisions (les objectifs fixés sur un intervalle de temps déterminé),
- les réalisations (la performance réellement atteinte à l’issue de la période), les écarts (la différence entre les prévisions et les réalisations),
- la justification des écarts et les actions correctives à mettre en place afin d’y remédier (exemple : lancement d’une action de communication, réduction des stocks, changement du mode de transport…).
Vous l’aurez compris, le tableau de bord est un outil indispensable au pilotage de votre entreprise, à son développement et à sa réussite
De sa construction à sa mise en place la CCI est à vos côtés à travers ses offres d’accompagnement et de formations.
Découvrez la formation : Concevoir un tableau de bord
Le programme télévisé « Ose ta boîte » revient pour une nouvelle saison ! Il reste quelques places pour intégrer cette émission sur la thématique de la création d’entreprise, dotée d’un prix d’un million CFP. Inscrivez-vous avant le 19 décembre 2021 pour être accompagné par des professionnels de l’entrepreneuriat et peut-être donner un coup de pouce à votre projet entrepreneurial…
Après le succès de la première saison diffusée en avril-mai 2020, cette création 100 % calédonienne Archipel Production en partenariat avec Nouvelle-Calédonie La 1ère et la CCI, revient pour mettre sur orbite le meilleur projet d’entreprise.
20 candidats seront présélectionnés en fonction de leur projet mais aussi de leur motivation, et seront testés à travers différentes épreuves collectives au fil des semaines, pour mettre en lumière leurs compétences. Leadership, capacité à s’adapter à toutes les situations, à prendre des risques ou à travailler en équipe : au fur et à mesure des émissions qui mixent jeu et formation, un jury sélectionnera les candidats qui continueront l’aventure jusqu’à la finale.
Pour qui ?
Pour se porter candidat à cette grande aventure humaine, quelques conditions sont requises :
- Avoir entre 18 et 65 ans
- Être domicilié en Nouvelle-Calédonie
- Être en possession d’une carte d’identité
- Être titulaire d’un casier judiciaire vierge et ne faire l’objet d’aucune poursuite judiciaire
- Avoir un projet d’entreprise en Nouvelle-Calédonie.
Disponibilité
Phase de sélection
Les candidats devront être disponibles sur Nouméa pour présenter leur projet devant le jury de pré-sélection, à des dates qui leur seront communiquées ultérieurement, entre le 20 et le 24 décembre 2021 (une heure maximum).
Tournage
Les candidats retenus devront être disponibles sur Nouméa pour le tournage, aux dates qui leur seront communiquées ultérieurement, prévues entre le 28 février et le 19 mars 2022, pendant 12 jours.
Formalités
Pour s’inscrire, le candidat devra envoyer un dossier de candidature dûment rempli avant le 19 décembre 2021 à l’adresse : osetaboîte@archipelprod.com.
Télécharger le dossier de candidature
- Joindre une photo
- Prendre connaissance du règlement du jeu et en accepter les termes et conditions en remplissant et en signant l’Annexe 1 du dossier.
- Accepter de céder son droit à l’image dans les conditions prévues au règlement du jeu en remplissant et en signant l’Annexe 1.
- Accepter et signer la charte de confidentialité (Annexe 2).
Suivez l’actualité du jeu sur la page Facebook Ose ta boîte, en cliquant : ICI.
Du 7 au 10 mars 2022, la CCI en partenariat avec l’ACE et l’ADEME proposera une formation en froid industriel de 4 jours, animée par un ingénieur en génie frigorifique et climatique. Ce spécialiste du bureau d’études métropolitain Aérothermis, qui conduira une étude sur l’usine de la Sopac à Koné, interviendra en partenariat avec le cabinet de conseil en efficacité énergétique Albedo, basé en Nouvelle-Calédonie, pour proposer à toute structure disposant d’équipements frigorifiques ou prestataires de maintenance de systèmes froid, de faire monter en compétence leurs équipes.
Des formateurs experts
Bureaux d’études, responsables et techniciens de maintenance, responsables énergies… saisissez cette opportunité d’être formés par Aerothermis, bureau d’études, consultant en génie frigorifique et climatique pour les industries agroalimentaires, chimiques, cosmétiques, pharmaceutiques, en France, outre-mer et à l’international. Sur le CV de cette société : Cadbury, Danone, Fleury Michon, Nestlé, Andros ou encore Kraft Foods ! Son partenaire local, Albedo, est un cabinet de conseil et ingénierie spécialisé en efficacité énergétique et conception durable qui a été fondé en 2012. Ensemble, ils ont conçu une formation qui permettra aux services techniques d’acquérir les connaissances suffisantes pour assurer le suivi de leurs installations ou a minima, d’être en mesure de contrôler que les prestations qu’ils sous-traitent sont correctement réalisées.
Quels sont les objectifs de cette formation ?
Jusqu’à 12 stagiaires (pré-requis : bagage technique minimum en matière d’électricité, thermodynamique et mécanique des fluides) pourront suivre cette formation unique visant à :
- Appréhender les grands principes de fonctionnement d’une installation frigorifique, réaliser son exploitation, des contrôles de maintenance de niveau 1 et manager des entreprises sous-traitantes.
- Comprendre les grands principes de fonctionnement d’une installation (initiation).
- Connaître la technologie des principaux composants d’une installation frigorifique.
- Connaître les spécifications des installations frigorifiques industrielles (NH3, CO2, détente directe …).
- Connaître les bases des réglementations métropolitaines et locales (ICPE …).
- Savoir évaluer les performances énergétiques.
- Analyser sur site des écarts de fonctionnement (cas concrets).
Une formation sur-mesure sera créée pour les participants, grâce au savoir-faire de la CCI pour mobiliser des partenaires-experts et mutualiser les moyens afin de rendre ce type de formation accessible aux entreprises du territoire : inscrivez-vous vite !
Pour plus d’information sur cette formation, contactez vos conseillers CCI :
environnement@cci.nc / 24 31 00.
Lundi 31 janvier, David Guyenne, président de la CCI-NC, Charles Roger, directeur général de la CCI-NC, Rémi Bastille, secrétaire général du Haut-commissariat de la République en Nouvelle-Calédonie et Lionel Adrian, directeur général délégué d’Aircalin, ont tenu une conférence de presse pour annoncer le lancement, le 15 février 2022, de travaux de réfection de la piste de l’aéroport international de Nouméa-La Tontouta.
Un budget d’1 milliard de francs CFP est engagé dans ces travaux, qui contribueront à la relance du secteur du BTP, particulièrement impacté par la crise, en ce début d’année 2022. Planifiés initialement en 2021, ces travaux réglementaires ont été retardés par la crise sanitaire qui a entraîné des difficultés de financement. Ce chantier d’envergure, qui n’a lieu que tous les 15 à 20 ans, va maintenant pouvoir démarrer en coordination avec les compagnies aériennes, afin de continuer de doter la Nouvelle-Calédonie d’infrastructures performantes.
De gauche à droite : Lionel Adrian (directeur général délégué d'Aircalin), David Guyenne (président de la CCI-NC), et Rémi Bastille (secrétaire général du Haut-commissariat de la République en Nouvelle-Calédonie).
Un chantier séquencé pour minimiser l’impact sur l’exploitation
Ces travaux de réfection ont été segmentés en plusieurs tronçons, tenant compte des programmes de vols, afin de minimiser leur impact sur l’exploitation. A l’exception d’un créneau de fermeture totale de la piste de 49 heures, plusieurs phases de chantier de 24 à 49 heures sont programmées jusqu’à fin mai, pour resurfacer les 3 250 mètres de la piste sur 30 mètres de large, et sur une épaisseur de 6 cm. Ces travaux permettront aussi d’élargir les raquettes de retournement qui permettent aux avions, en bout de piste, de faire demi-tour. Entre septembre et octobre ensuite, une deuxième phase de travaux consistera en la réfection des voies de circulation parallèles à la piste (« taxiways ») et la remise à neuf de leur balisage lumineux.
Pendant toute la durée des travaux, une accessibilité aérienne minimale sera maintenue en permanence sur 1 800 mètres de piste, pour trois cas spécifiques seulement : le déroutement des vols domestiques, les évacuations sanitaires et les vols militaires urgents. Les déroutements internationaux, eux, devront se faire pendant cette période sur d’autres terrains proches (aux Fidji, au Vanuatu ou en Australie). Bien que le trafic aérien soit maintenant un peu plus élevé qu’en 2021, la faible activité aérienne de 2022 représente un avantage certain pour l’organisation de ces travaux.
Un soutien bienvenu à la relance économique
Cet investissement qui allouera une enveloppe de 780 millions de francs CFP rien qu’aux travaux, et 1 milliard CFP au total au chantier de réfection dans sa globalité, contribuera à soutenir les entreprises du BTP durement touchées par la crise. Une dizaine d’entre elles et pas moins de 200 salariés seront mobilisés par ces travaux, dont le Groupement Jean Lefebvre Pacifique (JLP), Colas, SOGEA Pacifique, Menaouer, A2EP et de nombreux autres prestataires locaux, transporteurs par exemple. Un chantier financé à 100 % par la CCI-NC (dont 90 % d’emprunt) qui va redonner du souffle à la relance économique calédonienne.
Développer des infrastructures performantes malgré la conjoncture
Initialement prévu de mars à septembre 2021, le chantier a été repoussé du fait de la crise sanitaire de la Covid-19, qui a entraîné des difficultés de financement.
En effet, de 566 000 passagers accueillis en 2019, le trafic est tombé à 166 000 passagers en 2020, soit une chute de 71 % et à 53 600 passagers en 2021, soit une chute de plus de 90 % par rapport à 2019.
Ce contexte de crise a contraint la CCI à réviser à la baisse son Plan Pluriannuel d’Investissement (PPI), qui est ainsi passé de 5,3 milliards de FCFP à 2,1 milliards, priorisant les investissements essentiels, dont la réfection de la piste d’atterrissage.
L’impact de la crise Covid couplé à l’arrivée à terme du contrat de concession de l’aéroport confié à la CCI jusqu’en 2024, ne permettait pas à la Chambre de financer cet investissement sans l’intervention de l’État. En effet, les mécanismes des contrats de concession prévoient que les emprunts restants dus à la fin de la concession demeurent à la charge du gestionnaire sortant, qui perçoit alors une indemnité équivalente au capital restant dû des emprunts pour compenser cette charge.
Le contrat qui lie la CCI-NC à l’État, prévoyait que cette indemnité compensatoire soit plafonnée aux résultats de l’aéroport lors des 5 dernières années de concession. Ceux-ci étant de fait très impactées par la crise Covid, l’État a validé par décret, après des discussions menées avec la Direction générale de l’aviation civile à Paris, la modification de ce contrat. Ainsi, afin de permettre la réalisation de ce chantier, l’indemnité compensatoire sera plafonnée aux résultats des 5 dernières années avant la crise Covid.
Sont également prévus dans ce PPI, de nouvelles infrastructures en escale, l’extension du poste Inspection filtrage passagers bagage cabine, la digitalisation du parcours passagers, la réfection des sanitaires dans l’aérogare, ou encore du parvis.
La CCI, en tant qu’établissement public calédonien impliqué dans le développement économique du territoire, recherche dans sa gestion la même performance que dans le privé, mais au profit de l’intérêt général. Elle réinvestit ainsi tous les bénéfices perçus au sein de la plateforme dans le développement de cette dernière.
Suivez toute l’actualité de l’aéroport international de Nouméa-La Tontouta sur son site internet , sur ses réseaux sociaux et sur sa toute nouvelle page Instagram.
La dernière enquête d’insertion menée auprès de 118 alternants de la promotion 2020 par la CCI formation alternance (CFA), est sans équivoque : même dans un contexte de tension sur le marché du travail, le choix de l’alternance reste une voie de réussite !
Le CFA, chaque année, prend le pouls de ses promotions, diplômées et non diplômées, neuf mois après l’examen. 9 alternants sur 10 de la promotion 2020 sont insérés neuf mois après leur sortie de formation. Toutes sections confondues, le taux d’insertion défini par les embauches et les poursuites de formation (en hausse), est de 88 % : 62 % des alternants de la promotion 2020 sont en situation d’emploi (en CDI pour les deux tiers d’entre eux) et 26 % poursuivent leur formation.
Ce taux d’insertion est quasiment identique à celui de 2020, malgré le ralentissement économique et la forte baisse de l’emploi salarié dans le secteur privé, amorcée depuis 2017 et accélérée par la crise sanitaire du Covid-19. Ce résultat confirme que la formation par alternance dispensée par la CCI, axée sur la pratique professionnelle et portée par l’implication des entreprises, est une voie d’excellence vers l’insertion.
Ces résultats valident l’attention portée par la CCI formation alternance d’analyser continuellement l’évolution du marché de l’emploi calédonien avec les professionnels, afin de proposer des formations en adéquation avec leurs besoins. La part de contrats à durée indéterminée (CDI) décrochés par la promotion 2020 est particulièrement élevée dans certaines filières (BTS gestion de la PME, BTS négociation et digitalisation de la relation client, BTS transport et prestation logistique et Bachelor développement commercial), témoignant d’un réel besoin des entreprises en personnel qualifié pour développer leurs ventes, leur relation client et leur organisation, dans ce contexte de crise sanitaire qui a bousculé les schémas commerciaux établis.
Les alternants poursuivent de plus en plus leurs études
La poursuite d’études augmente de neuf points cette année, et a été privilégiée par les alternants des BTS comptabilité et gestion, négociation et digitalisation de la relation client et gestion de la PME. 1 alternant diplômé sur 4 en moyenne, choisit de poursuivre sa formation pour se spécialiser, vers un BTS (18 %), en Bachelor et Licence Pro (36 %) et en Master en Métropole (10 %).
Le salaire moyen des alternants augmente lui aussi, en corrélation avec le niveau de formation : la moitié des ex-alternants perçoivent aujourd’hui une rémunération de plus de 200 000 francs CFP brut mensuel, contre un peu plus d’un tiers l’année précédente.
4 % des alternants de la promotion 2020 ont, eux, fait le choix de créer leur activité en se lançant dans l’entrepreneuriat.
Pour consulter l’enquête d’insertion 2020 dans son intégralité, cliquez ci-dessous :
Et pour en savoir plus sur le CFA de la CCI-NC qui propose 13 formations de niveau Bac à Bac + 3, en alternance de 1 à 3 ans, pour tout public sans distinction d’âge :
Contact :
CCI formation alternance
24 31 45 / cfa@cci.nc
Pour devenir alternant et consulter les formations qui disposent encore de places disponibles, rendez-vous sur le site du Point A (24 69 49 / contact@pointa.nc) : cliquez ICI.
Le FIAF (Fonds Interprofessionnel d’Assurance Formation) mène actuellement une étude auprès des entreprises au sujet de la formation professionnelle en Nouvelle-Calédonie.
L’objectif de cette étude est de recueillir les perceptions des entreprises sur l’offre de formation en Nouvelle-Calédonie et sur l’action du FIAF, de mieux comprendre vos pratiques, vos besoins et attentes en matière de formation professionnelle. Cette étude permettra au FIAF d’identifier les actions à mettre en place pour améliorer le service rendu aux entreprises.
Cette étude s’adresse uniquement aux entreprises ayant des salariés.
Ce questionnaire, valide jusqu'au 25 février 2022, dure moins de 10 minutes. Vos réponses seront traitées de manière confidentielle par I-SCOPE en charge de l’étude, dans le respect total de votre anonymat et uniquement à des fins statistiques, en conformité avec la réglementation RGPD*.
Pour toute question sur cette étude le FIAF reste à votre disposition par mail :
contact@fiaf.nc
Jeudi 24 février 2022, l’École de gestion et de commerce Pacifique Sud a donné le coup d’envoi de son parcours d’accompagnement Talentis. Un coaching imaginé pour préparer 8 candidats (photo : BCI) aux écoles de commerce ou d’ingénieurs ou d’autres études supérieures en Métropole, à décrocher leur sélection par le jury du programme d’accompagnement aux études supérieures d’excellence (PAESE) de la Fondation BCI pour l’égalité des chances.
Ce parcours de plusieurs semaines, animé par des formateurs coachs experts, permettra aux participants de construire leur projet professionnel et valoriser leur candidature, dans l’objectif de faire partie du carré final sélectionné par la Fondation BCI. La première phase d’accompagnement s’étendra jusqu’à fin mars. Ateliers et coachings individuels seront proposés aux 8 candidats pour réaliser un autodiagnostic de leurs forces et points d’amélioration et s’entraîner aux pitchs.
Vers des études d’excellence
Fin avril ensuite, les 4 candidats retenus par la Fondation BCI pour l’égalité des chances disposeront d’une ultime préparation à leurs oraux de concours en Métropole par l’EGC, seule école de commerce du territoire depuis plus de 35 ans, intégrée au réseau des 19 campus EGC nationaux - plus large réseau français de Bachelors visés par l’État en Métropole et Outre-mer. Un lancement réussi avec des candidats motivés, qui comprennent que ce parcours représente un véritable atout vers leur réussite.
Les étudiants ou anciens étudiants qui ont un projet de création d’entreprise, de reprise d’entreprise ou de création d’une association, peuvent s’inscrire jusqu’au lundi 21 mars 2022 pour rejoindre la nouvelle promotion PEPITE NC et, avec le statut d’étudiant-entrepreneur, bâtir leur projet entrepreneurial tout en poursuivant l’obtention d’un diplôme.
En intégrant ce dispositif, les candidats rejoindront un réseau actif d’entrepreneurs, accèderont à un espace de co-working à l’Université de la Nouvelle-Calédonie, ou encore bénéficieront de l’aide de tuteurs pour mener à bien leur projet. A l’issue de leur cursus, ils pourront substituer leur stage de fin d’études par leur projet d’entreprise, et accéder au Diplôme Étudiant-Entrepreneur (D2E).
Toutes les informations sont disponibles en cliquant sur le lien suivant : ICI.
Renseignements :
Il est possible de prendre un rendez-vous tout au long de l’année pour se renseigner sur le dispositif PEPITE NC, par téléphone au 29 02 85 ou par mail : pepite-nc@unc.nc.